Un accord de principe a été trouvé dans la nuit de dimanche à lundi entre le président chypriote Nicos Anastasiades et ses bailleurs de fonds internationaux sur le sauvetage de Chypre, qui prévoit notamment la fermeture de la deuxième banque du pays. Le président chypriote s'est dit "satisfait" de l'issue des négociations, en quittant le Conseil européen tôt lundi matin. BILLETS DE BLOG | Anne Sinclair: Je n'en peux plus de... Deux choses m'ont marquée cette semaine : la charge très violente de Daniel Schneidermann contre Patrick Cohen pour les propos que celui-ci a tenus dans une émission. A savoir que la responsabilité d'un journaliste auprès de ses lecteurs, auditeurs ou téléspectateurs, s'exerce jusqu'au choix de la personne à laquelle il tend un micro. La deuxième chose qui m'a frappée cette semaine, c'est... qu'elle ressemblait furieusement aux autres, malgré l'actualité chargée qu'elle semblait charrier. Alors, en mélangeant ces deux impressions, j'ai eu envie de faire une sorte de liste, moi aussi, comme une nomenclature à la Georges Perec, mais à l'envers. Au lieu des "je me souviens" célèbres, de faire la compilation des "je n'en peux plus". | | Guy Verhofstadt: L'heure est venue de sévir contre le régime Orban INTERNATIONAL - J'ai aussi à la Commission européenne et au Conseil d'activer une procédure permettant de déchoir un Etat de ses droits européens s'il est démonté qu'il existe un "risque clair de violation grave et persistante" des valeurs fondamentales européennes. | | Esther Benbassa: Vu du Sénat # 26 - Délit de racolage: l'abrogation, sans délai! POLITIQUE - La question de la pénalisation des clients peut et doit être posée. Nous n'en sommes pourtant pas là. L'urgence, en ce dixième anniversaire de son instauration, est l'abrogation du délit de racolage dont les effets néfastes ont été soulignés par différents rapports. | | Michelle-Irène Brudny: Encore la banalité du mal! CULTURE - Le film réplique le portrait d'une Arendt de légende, penseur sans peur mais surtout sans reproche, inexplicablement persécutée par d'effrayants détracteurs voire des agents secrets israéliens habillés KGB. | | Daniel Soulez Larivière: Cahuzac, Aubry, Sarkozy et la procédure pénale La mise en examen "pour abus de faiblesse" de Nicolas Sarkozy semble particulièrement tirée par les cheveux. Il est soupçonné d'abus de faiblesse pour avoir demandé et reçu de l'argent des Bettencourt en 2007. S'agissait-il de financement politique illicite ? On ne le saura jamais puisque cette infraction est prescrite. Encore faudrait-il des preuves que cet argent a été remis, ce qui n'est pas le cas, sauf dans le cadre légal. On en est à discuter sur l'existence d'une seule visite à "Monsieur" et de la rencontre à cette occasion de "Madame", ou d'autres rencontres contestées. Aucun élément non plus sur "l'intention coupable", c'est-à-dire sur l'évidence pour un tiers d'une "faiblesse" de la dame qui, il y a six ans, aurait pu être remarquée par tout le monde. | | LES PLUS LUS SUR HUFFINGTONPOST.FR |
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